PRÉSENTATION
© Laurent Gayte
Depuis 1999, Les Correspondances de Manosque inventent de nouveaux modes de rencontres avec le texte pour mettre en avant une littérature vivante. Elles accompagnent de jeunes écrivains et écrivaines, saluent les grandes plumes d’aujourd’hui et privilégient les lectures et les croisements artistiques. Ainsi, chaque année, la dernière semaine de septembre, ce sont plus de 16 000 personnes qui parcourent Manosque durant cinq jours et célèbrent ensemble l’écriture et la rentrée littéraire.
En aucun cas le festival est un salon. Les auteurs et autrices sélectionnés doivent toutes et tous avoir été publiés pour la rentrée littéraire et avoir été lus et choisis par le comité de programmation.
Fondé sur la rencontre et l’échange, le festival se déploie dans trois directions principales :
– Donner la parole aux autrices et auteurs invités à travers des exercices inédits : lectures, lectures croisées, performances, mais aussi rencontres sur les places de la ville.
– Mettre la littérature en correspondance avec d’autres formes artistiques en faisant aussi appel à des artistes en tout genre (comédiens et comédiennes, musiciens et musiciennes, plasticiens et plasticiennes) pour imaginer des créations originales…
– Concevoir un vaste parcours d’écriture à travers une centaine « d’écritoires », certains véritable oeuvres et d’autres proposés par les partenaires locaux, pour investir la place publique, redécouvrir le plaisir de l’échange et envoyer des milliers de lettres, toutes affranchies gratuitement par le festival.
Tout au long de l’année, Les Correspondances poursuivent leur engagement en faveur de la présentation et de la transmission de la littérature en tissant des partenariats avec les acteurs culturels du territoire. De ces collaborations naissent de nombreux projets qui se structurent notamment autour de l’animation d’un club de lecture (pour découvrir une vidéo tournée par le Centre national du livre, à Manosque, au club de lecture animé conjointement par Les Correspondances et la médiathèque d’Herbès, cliquer ICI) et d’une résidence d’écrivain ou d’écrivaine.