LES RÉSIDENTS DEPUIS 2003

Les résidences d’auteurs sont coordonnées par Les Correspondances et portées collectivement avec les principaux acteurs du livre du territoire : l’association Éclat de lire, la MJC, le Centre Jean Giono, les médiathèques, en relation avec les établissements scolaires et notamment l’École internationale de Manosque.

 

Le programme de résidences bénéficie du soutien de la Drac Paca.

 

Ce programme a déjà permis de recevoir à Manosque Yann Apperry, François Beaune, Jeanne Benameur, Miguel Bonnefoy, Julien Delmaire, Pierre Ducrozet, Mathilde Forget, Frédéric Forte, Célia Houdart, Salomé Kiner, François Matton, Robert McLiam Wilson, Makenzy Orcel, Sylvain Prudhomme, Blandine Rinkel, le slameur Rocé, Moshe Sakal, Jacques Serena et Alice Zeniter.

 

2023 : Clément Bénech

 
Plus d’informations sur sa résidence dans cet article :
http://correspondances-manosque.org/festival/clement-benech-accueilli-en-residence-en-2023/

 

2022 : Salomé Kiner

 

En 2022, la résidence de Salomé Kiner a croisé les médiations classiques et les interventions en direction de publics éloignés de la lecture : ateliers d’écritures et rencontres à l’École internationale Paca de Manosque, atelier-rencontre à l’École de la deuxième chance, promenade littéraire et atelier à l’École Buissonnière de Montjustin, lecture musicale et rencontre en public dans le cadre des Parenthèse du mardi du Centre culturel & littéraire, rencontre croisée à la médiathèque de Manosque avec l’auteur Arno Bertina en partenariat avec l’association Désirdelire, rencontre atelier auprès des adhérents du Groupe d’entraide mutuelle « Le chat qui tousse », atelier avec des jeunes dans une maison d’animation et de proximité du Centre social municipal. Salomé Kiner a établi un lien fort avec le club des lecteurs animé par Les Correspondances en partenariat avec la médiathèque d’Herbès de Manosque, à la faveur de rencontres et d’une sélection de livres écrits par des femmes et qui parlent d’autres femmes, ou d’elles-mêmes. Enfin, durant le festival, Salomé Kiner a animé cinq rencontres et participé à une rencontre à la médiathèque de Gréoux-les-Bains de présentation du festival.

 

À LIRE : Grande couronne, Christian Bourgois, 2021.

 

2021 : Célia Houdart

 

La résidence de Célia Houdart en 2021 a été tournée vers les autres et la nature, autour des plantes et des fleurs sauvages qu’elle souhaitait inviter dans le roman dont elle commençait l’écriture. De promenades en herborisations, elle a convié un public longtemps confiné à des propositions littéraires partagées en extérieur. Du prieuré de Salagon à celui de Chateauneuf, des jardins de l’abbaye de Valsaintes à ceux de la Thomassine, ses visites étaient suivies d’ateliers d’écriture in situ. Les collines de Manosque, les sentiers de Mane, les chemins de Banon, le plateau de Valensole et même au-dessus de Digne-les-Bains : Célia Houdart s’est nourrie du territoire en suscitant rencontres, échanges, transmission et réciprocité. À mesure, elle a par ailleurs constitué une « table-fenêtre » à la médiathèque d’Herbès, commentant les livres et films qui nourrissaient son travail. Durant l’édition 2021 du festival, Célia Houdart a proposé une lecture-projection au théâtre autour de son livre à paraître et une rencontre à l’Écomusée l’Olivier (Volx) autour de la botanique et dans le prolongement de sa résidence.

 

À LIRE : Les Merveilles du monde, P.O.L., 2007 ; Le Patron, P.O.L., 2009 ; Carrare, P.O.L., 2011 ; Gil, P.O.L., 2015 ; Tout un monde lointain, P.O.L., 2017 ; Villa Crimée, P.O.L., 2018 ; Le Scribe, 2020, P.O.L. ; Journée particulière, P.O.L., 2021.

À CONSULTER : www.celiahoudart.com

 

2020 : Mathilde Forget

 

La résidence de Mathilde Forget en 2020 a été généreuse et émouvante : Parenthèse du mardi, rencontres et ateliers à l’École internationale de Manosque, dictée de la Nuit de la lecture. Confinée à Paris, elle a offert une belle rencontre en visioconférence et un podcast fort autour d’Annie Ernaux diffusé sur notre site. Un séjour de création à l’association Hautes Plaines durant sa résidence lui a également permis de nous livrer le premier épisode d’un feuilleton sonore réalisé avec Clélia Barbut. Durant l’édition 2020 du festival, le public a pu découvrir sur scène des extraits de son roman à paraître, l’entendre aux côtés de Raphaële Lannadère (L) ou encore la suivre dans une balade littéraire.

 

À LIRE : À la demande d’un tiers, Grasset, 2019.

 

2019 : Blandine Rinkel

 

Blandine Rinkel, journaliste, musicienne, comédienne, écrivaine, a plus d’une corde à son arc et pratique naturellement l’hybridation des domaines si chère aux Correspondances. L’Abandon des prétentions, son premier roman, a eté très remarqué. Largement autobiographique, elle y décrit, en soixante-quinze chapitres brefs, le personnage de Jeanine, sa mère, qui n’a eu de cesse d’accueillir chez elle les réfugies, migrants ou gens de passage.

Elle appartient au groupe Catastrophe, collectif d’une dizaine de jeunes artistes de moins de 30 ans, invité aux Correspondances en 2019.

Sa résidence à Manosque s’est déroulée de janvier à août 2019.

 

À LIRE : L’Abandon des prétentions, Fayard, 2017 ; Le Nom secret des choses, Fayard, 2019.

 

2018 : Miguel Bonnefoy

 

Miguel Bonnefoy, né à Paris en 1986, a grandi au Venezuela et au Portugal. En 2015, il publie son premier roman, Le Voyage d’Octavio, Rivages, 2015, qui remporte de nombreux prix. En 2016, il publie Jungle aux éditions Paulsen, lauréat du pris littéraire des lycéens, apprentis et stagiaires de la formation professionnelle.

Il a été invité aux Correspondances pour son dernier roman Sucre Noir, Rivages, 2017. Sous des allures de conte philosophique, il livre, dans une prose inspirée du réalisme magique des écrivains sud-américains, le tableau émouvant et enchanteur d’un pays dont les richesses sont autant de mirages et de maléfices.

Sa résidence à Manosque s’est déroulée de janvier à juillet 2018.

 

À LIRE : Le Voyage d’Octavio, Rivages, 2015 ; Jungle, Paulsen, 2016 ; Sucre Noir, Rivages, 2017.

 

2017 : Julien Delmaire

 

Né en 1977, Julien Delmaire est romancier et poète. Plusieurs de ses textes ont été traduits, en anglais, en espagnol, en allemand, en italien et japonais. Depuis près de quinze ans, il multiplie les performances poétiques sur scène, un peu partout dans le monde. L’écrivain encadre de nombreux ateliers d’écriture dans les établissements scolaires, les hôpitaux psychiatriques, en milieu carcéral, ainsi que dans les bibliothèques et les médiathèques.

Il a été invité aux Correspondances pour chacun de ses romans : en 2013 pour son premier roman Georgia, en 2016 pour Frère des astres, et en 2017 pour son dernier roman Minuit, Montmartre.

Sa résidence à Manosque s’est déroulée de janvier à juin 2017.

 

À LIRE : Georgia, Grasset, 2013 (prix de la Porte Dorée) ; Frère des Astres, Grasset, 2016 (Prix Spiritualité d’Aujourd’hui) ; Minuit, Montmartre, Grasset, 2017.

 

2016 : Pierre Ducrozet

 

Pierre Ducrozet est né en 1982 à Lyon. Il voyage en Asie et en Amérique du Sud avant de s’installer àBarcelone. Il publie en 2010 son premier roman, Requiem pour Lola rouge, qui remporte le prix de la Vocation.

Son troisième roman, Eroica, est une fiction biographique autour du peintre Jean-Michel Basquiat. Il a dirigé et coécrit un volume sur Barcelone (Robert Laffont, coll. « Bouquins », 2016). Il est également traducteur, chroniqueur littéraire et collaborateur de la Société européenne des auteurs. Il habite entre Berlin et Paris.

Il a inauguré sa résidence à Manosque par une lecture musicale autour d’Eroica, avec le musicien David Gonzalez Cambray.

 

À LIRE : Requiem pour Lola rouge, Grasset, 2010 (prix de la Vocation) ; La vie qu’on voulait, Grasset, 2013 ; Eroica, Grasset, 2015.

 

2015 : Sylvain Prudhomme

 

Sylvain Prudhomme, invité aux Correspondances 2014 pour Les Grands, a été accueilli en résidence aux Correspondances de Manosque pendant 12 semaines de novembre 2014 jusqu’aux Correspondances 2015.
Né en 1979, Sylvain Prudhomme construit depuis quelques années une œuvre littéraire ouverte sur le monde. L’Afrique contemporaine – où il a longtemps vécu et travaillé – est une des sources d’inspiration principales de ses derniers livres et reportages. Là, avait dit Bahi, son précédent roman, publié chez « L’Arbalète », a reçu le prix Louis Guilloux 2012.

 

À LIRE : Les Grands, Collection L’arbalète, Gallimard, 2014. Là, avait dit Bahi, Collection L’arbalète, Gallimard, 2012.

 

2013-2014 : Alice Zeniter

 

Alice Zeniter est née en 1986, en Basse-Normandie. Normalienne, elle a enseigné un an en Hongrie et collabore régulièrement à la mise en scène de pièces de théâtre avec la compagnie Pandora. Elle est l’auteur de Deux moins un égal zéro, a été publié lorsqu’elle n’avait que 16 ans (éditions du petit véhicule), qui lui a valu le Prix littéraire de la ville de Caen. Jusque dans nos bras publié en 2010 chez Albin Michel, a été récompensé par le Prix littéraire de la Porte dorée et le Prix de la Fondation Laurence Trân. Sombre dimanche reçoit le Prix de la Closerie des Lilas 2013, le Prix des lecteurs l’Express 2013 et le Prix du Livre Inter 2014. Elle écrit également pour le théâtre, elle est doctorante en études théâtrales, Lorsqu’elle était enseignante en Hongrie, Alice Zeniter fut assistante-stagiaire à la mise en scène dans la compagnie théâtrale Kreatakor du metteur en scène Arpad Schilling. Puis elle a collaboré à plusieurs mises en scène de la compagnie théâtrale Pandora et travaille en 2013 comme dramaturge pour la compagnie Kobal’t.

 

À LIRE  : Deux moins un égal zéro, Éditions du Petit Véhicule, coll. Plaine Page, 2003. Jusque dans nos bras, Albin Michel, 2010. Sombre Dimanche,  Albin Michel, 2013.

À VOIR : Un Ours of cOurse (texte et mise en scène Alice Zeniter).

À CONSULTER : https://www.facebook.com/AliceZeniter

 

2013 : François Matton

 

François Matton est né à Paris en 1969. Après des études à l’école supérieure d’art et de design de Reims, il s’oriente progressivement vers le dessin et l’écriture. Il est l’auteur de livres mêlant textes et dessins, publiés pour la plupart aux éditions P.O.L.En marge de la réalisation de ses livres, François Matton publie régulièrement sur son blog à dessin qu’il conçoit comme un laboratoire pour expérimenter les liens les plus divers entre textes et dessins. « Un manuel de survie pour Robinson citadins, un lieu où défouler des humeurs feintes, un carnet de notes encourageant à mieux voir le monde, un bréviaire pour une vie meilleure, une trousse à outils pour bricoler l’inutile et l’incurable. » (F. Matton) Lors de sa résidence à Manosque, il a participé à différentes rencontres publiques et a animé de nombreux ateliers à l’École internationale de Manosque.   

 

À LIRE & À VOIR : 220 satoris mortels, P.O.L, 2012.

À CONSULTER : le blog de François Matton

 

2013 : Makenzy Orcel

 

Makenzy Orcel est né à Port-au-Prince en 1983. Les Immortelles est son premier roman, hommage aux prostituées de la Grand-rue de Port au Prince, mortes sous les décombres du séisme de 2010. Makenzy Orcel a séjourné à Manosque du 15 octobre au 15 décembre 2012. Cette résidence, co-organisée avec les Éditions Zulma, a permis à Makenzy Orcel de terminer son prochain ouvrage et de participer à des rencontres publiques à Manosque et dans la région. Pendant sa résidence Makenzy Orcel a reçu le Prix Thyde Monnier – SGDL pour Les Immortelles.

 

À LIRE : Les Immortelles, Zulma, 2012.

 

2012 : Moshe Sakal

 

Moshe Sakal est né à Tel-Aviv en 1976 dans une famille séfarade d’origine cairote et damascène. Il a vécu six ans à Paris où il a étudié avant de regagner sa ville natale en 2006. Il a publié un recueil de nouvelles et trois romans. Il écrit régulièrement des critiques littéraires et des chroniques culturelles dans le quotidien israélien Haaretz. Son carnet de voyage au Maroc a récemment été publié en feuilleton dans le supplément littéraire du journal. En résidence à Manosque en résidence en septembre & octobre 2012, il a profité de son séjour pour achever son prochain roman dont l’écriture a débuté aux États-Unis l’année dernière et qui sera publié en Israël l’année prochaine. Il a participé à différentes rencontres publiques et nous a laissé un texte évoquant son séjour à Manosque.

 

À LIRE : Moshe Sakal, Yolanda, traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti, coll. « Cosmopolite », Stock, 2011.

 

2012 : Frédéric Forte

 

Frédéric Forte est né en 1973 à Toulouse. Il est poète, traducteur et membre de l’Oulipo. Marqué très tôt par l’œuvre de Raymond Queneau (il découvre à 12 ans les Exercices de style), il s’est tourné vers la poésie en 1999 après avoir joué de la basse dans différents groupes de rock. La poésie est à ses yeux le moyen privilégié pour interroger les limites du langage. Son travail est principalement tourné vers l’expérimentation formelle, mais il ne s’interdit aucune voie, pas même la prose. Durant sa résidence à Manosque (de juin à septembre 2012), Frédéric Forte a participé à des rencontres, lectures publiques et ateliers d’écriture. Pendant sa résidence à l’Hôtel Voland, Frédéric Forte, a écrit une vingtaine de textes regroupés et titrés « Épistolaire antérieur ». Ces textes, sorte d’engagement atypique à l’écriture de lettres imaginaires, figureront dans certains écritoires pendant le festival des Correspondances.

 

À LIRE & À VOIR : RE-, éditions Nous ; Comment(s), éditions de l’Attente ; L’Oulipo, mode d’emploi, Gallimard ; L’Oulipo court les rues (de Paris), P.O.L, 2012.

 

2011: Rocé

 

« Résident en septembre 2011, Rocé a séjourné à l’Hôtel Voland. En prélude à sa participation à la 13ème édition du Festival des Correspondances, Rocé, dont le style incisif lui vaut souvent le qualificatif de « rappeur littéraire », a dévoilé son rapport à l’écriture et à la littérature, son goût pour les mots et la poésie auprès de jeunes manosquins de la Ligue de l’enseignement et de la MJC.

 

À ÉCOUTER : « L’Être humain et le réverbère », Big cheese Records, 2010

 

2010-2011 : François Beaune

 

Nous avons accueilli François Beaune pour une résidence d’écriture qui s’est prolongée en 2011 à La Marelle, Villa des projets d’auteurs, située à La Friche La Belle de Mai à Marseille. Nous avions découvert François Beaune en 2009, en l’invitant aux Correspondances pour son premier roman, Un homme louche (éditions Verticales). Un livre qui nous avait totalement séduit par son originalité conjuguant mordant, humour et noirceur avec une liberté de ton exceptionnelle. François Beaune a terminé son deuxième livre, Un ange Noir (éditions Verticales). Une résidence à Manosque qui, outre un temps personnel d’écriture, a permi au jeune auteur de rencontrer les Manosquins à travers différentes lectures publiques, ateliers et récolte d' »Histoires Vraies« .

 

2009 : Robert McLiam Wilson

 

Résident en 2009, Robert McLiam Wilson a séjourné à l’Hôtel Voland ce qui lui a permis de continuer l’écriture de son prochain livre. Pour les Correspondances 2009, il a créé un document sonore « Conduite à droite » réalisé avec la complicité de Renaud Manos que les festivaliers ont pu écouter dans l’une des caves de l’Hôtel Voland.

 

À LIRE : Eureka Street, 1997, Ripley Bogle, 1999, La Douleur de Manfred, 2003, Les Dépossédés, 2005 publiés aux éditions Christian Bourgois

 

2009 : Yann Apperry

 

Résident en 2009, Yann Apperry a inauguré les résidences à l’Hôtel Voland. Très actif, il a mené un atelier de création sonore à la MJC, un atelier d’écriture au Centre Jean Giono, un spectacle écrit et imaginé par des enfants du quartier des Ponches et un spectacle musical avec une classe de CE2 (en collaboration avec Eclat de Lire). Il a également participé aux comités de lecture de Manosque et Gréoux-les-Bains et s’est amusé avec le plus grand nombre lors de pique-niques littéraires inoubliables.

 

À LIRE : Qui vive (Minuit, 1997), Paradoxe du ciel nocturne (Grasset, 1999), Diabolus in musica (Prix Médicis, Grasset, 2000), Farrago (Goncourt des Lycéens, Grasset, 2003), Terre sans maître (Grasset, 2008).

 

2007-2008 : Jeanne Benameur

 

Résidente en 2007 et 2008, Jeanne Benameur est allée à la rencontre des manosquins dans le cadre d’un programme riche et divers : lectures, ateliers d’écriture, évocation de l’œuvre de Giono, rencontres autour de sa bibliothèque idéale, son œuvre adulte et jeunesse, et son travail en cours. Ainsi le public a suivi et partagé une œuvre « en chantier » devenue son dernier roman Laver les ombres qui fut adapté par la chorégraphe Karine Saporta lors des Correspondances 2009. À l’initiative du service de développement culturel, Jeanne Benameur a également écrit un texte sur son expérience manosquine.

 

À LIRE : Les Mains libres (Denoël, 2004) Les Reliques (Denoël, 2005), Le Ramadan de la parole (Actes Sud junior, 2007), Présents (Denoël, 2006), Ça t’apprendra à vivre (Babel jeunesse, 2006), Petites Agonies urbaines (ouvrage collectif, Le Bec en l’air, 2006), Passagers, avec Gaël Clariana, Mickaël Troivaux, Stéphan Zaubitzer (photos), (Le Bec en l’air, 2007)

 

2003 : Jacques Serena

 

Résident en 2003, Jacques Serena, manosquin de passage, a rencontré les acteurs du livre de Manosque et a animé des ateliers d’écriture au lycée professionnel Martin Bret. Sa présence régulière au sein de l’établissement (douze séances de trois heures auprès d’une classe de C.A.P Agent Polyvalent de Restauration et douze séances de trois heures auprès d’une classe de B.E.P. électrotechnique) a permis à des élèves présentant parfois de lourdes difficultés à l’écrit de passer de l’appréhension au véritable désir d’écrire.

 

À LIRE : Isabelle de dos (1989), Basse ville (1992), Lendemain de fête (1993), Rimmel (1998), Plus rien dire sans toi (2002), L’Acrobate (2004), Sous le néflier (2007), publiés aux éditions de Minuit.